Olivier Dion qui réplique à Olivier Primeau

Dans sa publication, il parle de la dépendance du Canada envers les États-Unis, surtout en matière de défense et d'économie, et il pose plusieurs questions sur ce qui arriverait si cette protection disparaissait.

Il mentionne aussi que le Canada ne peut pas se permettre de financer un système de défense autonome à lui seul et insiste sur le fait qu'une intégration aux États-Unis n'est pas une option.

Son message a attiré beaucoup d'attention, notamment celle d'Olivier Dion, qui lui a répondu dans les commentaires.

Il lui a demandé concrètement ce qu'il proposait comme solution, trouvant que poser ces questions sans apporter de réponses pouvait alimenter l'inquiétude.

Primeau lui a répondu qu'il voulait justement des réponses du gouvernement et que l'absence de communication sur le sujet était préoccupante.

La discussion a continué, Dion expliquant que la situation était inédite et que les dirigeants devaient prendre le temps d'analyser avant de réagir. Il a aussi souligné que le gouvernement ne pouvait pas nécessairement répondre à chaque déclaration de Trump.

Primeau, de son côté, pense que, dans une période comme celle-là, les autorités devraient être en mesure de rassurer la population ou de dire clairement où elles en sont.

Voici l'échange entre Olivier Dion et Olivier Primeau:

Dans les commentaires, plusieurs personnes ont réagi avec des avis différents. Certains ont rappelé que le Canada fait partie de l'OTAN et du Commonwealth et qu'il n'est pas isolé.

D'autres ont mis en doute l'idée qu'une menace militaire soit réaliste, en expliquant que la géographie et les alliances stratégiques du pays offrent déjà une certaine protection.

Il y a aussi eu des remarques sur les statistiques avancées par Primeau, certains affirmant que le Canada n'est pas aussi vulnérable qu'il le dit.

Voici la publication d'Olivier Primeau:

Finalement, cette publication a surtout lancé un débat sur la place du Canada à l'international et sur la manière dont le gouvernement communique sur ces questions.

Les réactions sont partagées, entre ceux qui s'interrogent sur l'absence de réponses officielles et ceux qui considèrent que la situation est moins préoccupante qu'elle en a l'air.